Paris Games Week (PGW) : l'édition 2016!

Le salon du jeu vidéo a fait son grand retour à Paris ! Comme chaque année, depuis maintenant 6 ans, la Paris Games Week (soit PGW), se tient au Parc des expositions de la Porte de Versailles et accueille des milliers d'amateurs, de professionnels, ou encore de développeurs de jeux vidéos. Cet immense salon s'étend sur trois pavillons, le pavillon 1 étant de loin le plus grand.    dsc_0255

dsc_0256Le Pavillon n°1 

Au cours de cette semaine spéciale (du 27 au 31 octobre derniers) se sont déroulés plusieurs événements : des tournois mondiaux de jeux, la présentation de nouveautés , la possibilité de tester des jeux, et la venue de personnalités connues dans le monde du jeu vidéo avec l'opportunité de les rencontrer.

Le vendredi 28 octobre, un tournoi de qualification pour la coupe du monde du jeu Just Dance 2017 a été organisé au pavillon 3, là où les principaux tournois se déroulaient. Il rassemblait quatre qualifiés, qui s'affrontaient tour à tour pour à la fin élire un grand vainqueur, qualifié pour participer à une finale mondiale.

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Le Tournoi Just Dance 2017

Les nouveaux jeux Dragon Ball, ou encore Tomb Raider, ont été présentés lors de démonstrations inédites avant leurs sorties officielles. La créatrice du jeu Tomb Raider était présente pour cet évènement spécial, et il était possible de tester le jeu Dragon Ball en affrontant d'autres amateurs. dsc_0258       dsc_0251

Les stands des jeux Rise of the Tomb Raider et DRAGON BALL XENOVERSE 2

Pour rendre cet événement, plus mémorable, des célébrités du jeu vidéo, comme Domingo, Yellowstar (streamer du jeu League Of Legends) et bien d'autres encore, ont fait leur apparition pour rencontrer leurs fans, faire des photos avec eux ou encore signer des autographes.

La Paris Games Week, qui est l'un des plus grand salon du jeu vidéo au monde, reviendra avec d'autres nouveautés pour une nouvelle édition en 2017 !

Marie MENSAH (texte et photos)

 

Nos vendredis soirs...

Parfois, le vendredi soir on allait danser dans les bars et puis fumer et puis oublier...

On est jeune, il est bien tard. On est heureux de s'aimer, égoïste au comptoir.

Parfois, le vendredi soir, j'avais comme une envie de virée un peu plus tard, m'éclipser sur le trottoir, faire l'imbécile sans trop y penser.

Et c'est la fête. Quand glisse le jour, la nuit Paris n'est qu'amour pour ceux qui savent l'apprécier.

Mais parfois, comme au matin d'un certain samedi 14 novembre, c'est la gueule de bois nationale.

Le froid dans un corps et les sanglots face aux infos, et les copains qu'on appelle pour dire que tout va bien. Et on cherche à tâtons le dico du comment vivra-t-on.

Capucine Sansonetti

Vendredi 13

Le vendredi 13 n'était qu'une superstition, un mauvais présage.

Le 13 novembre était un vendredi 13, et alors? On ne s'est pas empêché d'aller boire un verre, de voir un match de foot, ou d'assister à un concert. Après tout on était vendredi soir, c'était le début du week-end. Pourtant, 128 personnes ne sont pas rentrées à la maison, pas même le lendemain, ni même le jour d'après; en vérité, 128 personnes ne rentreront plus jamais chez elles.

Ils ont attaqué cette œuvre d'art qu'est Paris. Paris... cette ville qui fait rêver, la ville lumière, la ville de l'amour, la ville que l'on découvre tous les jours, car chaque boulevard, chaque coin de rue, chaque avenue a son histoire.

Ils ont abattu des innocents, des hommes, des femmes, des enfants. Pas en raison de leur religion, ni de leur couleur de peau, ni de leur nationalité, ni même de leurs opinions politiques. Ces gens sont morts car ils étaient là. Tout simplement là, au mauvais endroit, au mauvais moment. Ce jour-là, j'ai découvert une preuve d'amour que j'aurais préféré ne jamais connaitre : savoir que nos proches s'assurent que l'on va bien, que l'on est en vie et en sécurité. J'aurais pu être là-bas, au mauvais moment, alors j'aurais été un souvenir de plus, un nom auquel on pense pendant la minute de silence.

Maintenant il faut vivre, même si on a peur, même si on ne sait pas comment ça va se finir. Nous sommes vivants, alors vivons!